Les essais d'incorporation d'insectes dans l'aliment aquacole permettent d'envisager de reduire l'utilisation de farines de poissons, et donc de limiter la pression de pêche. Par ailleurs, les insectes peuvent rendre un service préalable en éliminant des déchets organiques qui demanderaient un traitement spécifique coûteux du point de vue économique, mais également environnemental.
Le LPA du Haut-Anjou se positionne en réalisant des études au niveau régional ainsi qu'au travers de nombreux contacts au niveau national et en Afrique de l'Ouest. Il s'agit de devenir un centre de ressource et un relais pour les acteurs en cours ou en devenir s'intéressant à la production des insectes.