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Animation et développement
des territoires
de l'enseignement agricole

Bilan des dépenses du fonctionnement de l'animation Tiers Temps

Les dépenses ont essentiellement constitué en des frais de déplacements du chef de projet ADC, pour les réunions intra réseaux et relations extérieures (partenaires culturels notamment) et des frais liés à l’organisation de séminaires soit 835 euros (un seul séminaire cette année pour cause de COVID-19 soit 280 pour l’hébergement, 510 pour les repas, 45 pour les gratifications aux partenaires). Enfin les déplacements du chef de projet comptent pour 524, 37 €  (aller retours à la DRAAF site de Metz, aux trois FRAC du Grand Est et aux réunions de réseaux). L’ensemble des dépenses au total donne 1 359, 37 euros.

Bilan des recettes du fonctionnement de l'animation Tiers Temps

Les recettes proviennent de la DRAAF Grand Est qui fournit un effort conséquent pour permettre de mener à bien le projet en finançant les frais de déplacements du chef de projet et les frais d’hébergement liés aux séminaires des enseignants en ESC. Les EPL contribuent à l’effort collectif en prenant en charge les frais de déplacements des enseignants et l’EPL Agro facilite les déplacements du chef de mission entre autres par sa mise à disposition de véhicules en avance de frais

Résumé

Résumé grand public

Le tiers temps régional a été porté et soutenu par la DRAAF Grand Est et validé en commission nationale sous l’intitulé suivant « Mutualisation des synergies territoriales pour l’insertion des apprenants via leurs parcours culturels » pour trois années scolaires consécutives, 2017-2018, 2018-2019 et 2019-2020. Les trois réseaux concernés sont ceux mettant en œuvre l’Animation et le Développement Culturels (ADC) à savoir A3 pour l’Alsace, Champ’art pour la Champagne-Ardenne et Chantier pour la Lorraine.

4 points principaux d’actions avaient été posés lors de l’écriture du projet :

  1. Le diagnostic territorial culturel de chaque établissement
  2. La charte de fonctionnement commun des réseaux ADC
  3. L’élaboration et la signature d’une convention DRAC/ DRAAF
  4. La mise en place de l’Observatoire de la démocratisation culturelle dans l’enseignement agricole, vu comme un espace d’échanges et de co-construction du projet régional ADC

 

Ce travail de compilation, de rencontres et d’entretiens a été effectué par le chef de projet sur 16 des 18 sites, selon les disponibilités des interlocuteurs œuvrant sur site durant l’année scolaire 2017-2018, la première année du tiers temps selon le calendrier établi lors de l’écriture du projet. Pour rappel ce travail s’est déroulé sur la base du volontariat et à quelques exceptions a rempli sa visée. De plus cela constitue une base de donnée pour chaque établissement, pouvant préfigurer à un plan d’action culturelle annuel voire à un PADC, chaque ESC en étant à l’issue de ce diagnostic dépositaire des données, à transmettre ensuite à son Directeur-Adjoint.

 

La trame précise d’une réorganisation régionale a été présenté à la DRAAF courant 2019 et retravaillé d’après ses consignes, aidé et avalisé également par Claire LATIL, animatrice nationale « Animation et Développement Culturels » au BAEVS. Organisation générale : conservation des trois réseaux ADC existants du fait de leur cohérence et efficacité territoriales : 1H pour A3, 2H pour Champ’art, 2H pour Chantier. S’ajoute à cela 2H de coordination régionale fédérant les trois réseaux.

 

Un rapprochement a été fait avec la DRAC dès la première année du tiers temps, notamment associée lors des séminaires n°1 et 2 et en tant que force de proposition d’actions EAC (pour le FRAC notamment). Une proposition de convention a été écrite par les animateurs et le chef de projet, revu par le chargé de mission et le SRFD, à présent en examen au sein de la DRAC avant une signature commune et une application effective potentiellement à la rentrée scolaire 2020.

 

Le projet initial d’observatoire de la démocratisation culturelle a beaucoup évolué en trois années. Étaient envisagés au départ une grande enquête sur les parcours culturels des jeunes des classes terminales de chaque établissement comme ceux des membres actifs des ALESA. Cette action s’est révélée tout à la fois trop ambitieux et inapplicable dans son écriture tout comme dans son exploitation future du fait de la diversité des offres culturelles des établissements. Ensuite plutôt que de collecter encore de la donnée brute en plus des diagnostics du premier objectif, nous est apparu la nécessité de mettre en place des actions effectives en direction des jeunes notamment dans l’EAC en suivant ses trois principes : connaître, rencontrer et pratiquer.

C’est l’idée d’actions fédératives, avec une double entrée : une entrée « enseignant » et une entrée « jeune ».

Pour l’entrée « enseignants » cela consiste en la tenue de deux séminaires régionaux par an à destination de tous les ESC de la région voire d’autres acteurs de l’EAC de l’enseignement agricole selon les thèmes. En effet chaque séminaire tenu de manière tournante pour mettre en lumière tous les territoires de la région et se présentent sous trois axes principaux : la formation continue suite à des demandes remontées par les trois réseaux, la mise en place de projets EAC régionaux à destination des apprenants avec la découverte et l’association de partenaires culturels et un échange de pratiques, autour de témoignages en lien avec le partenaire et/ ou le thème du séminaire. Ces séminaires pour la partie formation sont financés par l’organisme FORMCO et pour les autres parties et réunions, les déplacements et frais sur place sont à la charge des établissements de rattachement des agents. Pour les frais annexes, concernant par exemple l’hébergement collectif d’un temps hors formation, cela est pris en charge par la DRAAF Grand Est.

Pour ce qui est de l’entrée jeunes, son élaboration a été plus compliquée. Un premier projet abandonné a permis d’apprendre de nos erreurs et nous a permis de mettre en place un projet en cours, dessiné depuis 2018 et qui s’achèvera en 2021.

 

Validation par le chef d'établissement